Je me sens comme une antenne,
canal de réception grand ouvert…
Communications en tout genre,
captées d’une goutellete,
d’un animal ou d’une nébuleuse.
J’ai tant de messages à émettre,
et des fréquences si fortes,
que peu de transistors me supportent.
Et mon signal se perd, ondes parasites,
dans la fréquence courte des coeurs
qui n’en n’ont plus rien à faire…
On a beau être connecté au cosmique,
y a des jours comme aujourd’hui,
où tout ça vous fend la tête en deux !